Des premiers travaux du sexologue Magnus Hirschfeld, (qui à Berlin dans l’entre deux guerre, voulait par la chirurgie et la tolérance permettre à ceux et celles qu’il avait alors appelé les « transvestis » de s’épanouir), aux équipes officielles actuelles de l’hôpital public réunies sous la bannière de la SoFECT (et qui elles, veulent garder le contrôle sur les parcours transidentitaires) ; comment la psychiatrie a mis la main sur la destinée des personnes transgenres jusqu’à en faire des malades mentaux ?